lundi 1 septembre 2008

les dernières d'avant les Wouacances

ça y est...la preuve est faite. De devoir abandonner ses collègues et son travail que l'on aime tant pour une interminable sinécure en famille. L'angoisse de devoir passer tout ce temps à se consacrer à sa famille, de devoir parler et se fatiguer les zygomatiques à trop vouloir sourire. De courir à droite et à gauche, d'escalader les escaliers des monuments, et le tout en sandales. De connaitre les joies de la transpiration et de la chaleur moite du K-Way. Et bien oui mesdames et messieurs, l'avant-vacances dans le monde du travail est un vrai stress. Et quel stress! Alors qu'à l'habitude de deviser sagement en se moquant des uns et des autres, de se raconter des blagues ou de tout bonnement faire la gueule, se transpose chez le futur vacancier-touriste une sorte d'état où tout se bouscule dans la tête, où les mots en remplacent d'autres. Cela donne des expressions d'une qualité rare. Elles sont la plupart du temps un condensé de plusieurs expressions communes de leur auteur. C'est en quelque sorte un concentré de Culture. Je vous livre ici ce chef d'oeuvre. Saurez vous trouver l'ensemble des expressions dont il est le résultat?
Aigle4 à la cantonnade (très en colère) :
-"On va quand même pas couper les pattes des mouches en douze!"

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Salut ami,
Je suis fier comme si j'avais un bar tabac.
1. A quand la fiche de membre actif du club autorisé à faire partie de la "génération si je veux" ?
2. Peux tu instaurer un palmarès comme la meilleure de l'année, du mois ou le top 5 des conneries entendues ?

Cette formule a dépassé les frontières d'outre océan : à un pignouf qui m'interpellait lors d'une aqua ballade alors que je ramais d'une façon qui m'est très personnelle (les deux pieds hors du bateau et du même côté que la rame (tu vois c'est pas gai et en plus j'ai la photo), j'ai répondu à ce paltoquet "moi j'appartiens à la génération "Si je veux" alors tes conseils !!!". Tout ceci dans un esprit bon enfant, le jean foutre m'a demandé de lui donner plus de détails. Une fois compris, le maroufle me dit : "Ah c'est çà, nous on vous appelle les "papy boomer" surtout depuis 68". Ce sacré foutriquet a expliqué aux autres autochtones ce qu'il avait compris de mon explication".
En conclusion il fût ravi de me connaître, le rejeton, nous avons passé un bon moment.

Aigle4
Un ami qui te veut du bien